克劳德·尼古拉斯·勒杜 Claude Nicholas Ledoux. (1804). 基于艺术、道德和律法的建筑 L’ architecture considérée sous le rapport de l’ art, des moeurs et de la législation.
这座简陋的大厦是什么,它的顶部,墩子相隔两个直径,在它们的孤立中呼唤着北方的呼吸,并激发了健康?屋顶非常突出,墙壁上有保护阴影。夏天燃烧的星星照亮的部分是如此明亮,似乎人们可以从火中汲取组成它的鹅卵石。
体量是方形的,与圣安德烈和普佩特的堡垒相对,这些山脉刺穿云层并与云层融为一体。这幅画的正面充满了悬空的云朵,打扰了旅行者;再往前走,太阳的光线以刺鼻的光芒照射在山丘上,眼睛几乎无法捕捉到它穿过的广阔平原的地平线。这是来自多尔的一位工匠的家,他将四十年工作的储备成果放在这片狭窄的土地上。因此,土地将施肥工业;如果它的贪婪埋葬了新的细菌,通过培养它们,它就会浪子,在它所拥有的东西上不那么富有,而不是在它从它的权力中夺走的东西上贫穷。
自然所偏爱的局面与艺术无关。山坡陡峭而缓缓拉长,开花的树木排列在小径上,间隔提供了装饰着所有有用产品的场景。我看到茂盛的蔬菜树,满载着早晨的喷壶;通过意外阴影保护耕地的果园;空气是纯净的,它充满了所有的呼气的芬芳,给嗅觉带来了甜美和美味的感觉。
一条小河在山脚下蜿蜒而行,湍急;随意投掷的石头会阻碍它的前进;被障碍物激怒了,她气得口吐白沫,无法抑制自己的喃喃自语。
草坪、水生植物、散落在边缘的鹅卵石纠正了线条的均匀性,铁路使它们变得柔软。在那里,一棵垂柳,在它被遗弃的时候,搅动着水面,花楸树用它浅色的毛发,在它彩色的束的重压下弯曲;在那里,杨树、绿橡树、梧桐树、西科莫罗树在前景中的灌木丛和场景上方抬起头来。再往前走,眼睛停留在金色的田野上,迷失在大气层的累积色调中。
心灵的吸引力为感性提供了迷人的地方,在那里,爱锻造了它的叹息、它的委屈、它的赦免。一文不值的人,在这些令人愉快的场景中,害怕让自己的存在被感知;无动于衷的人很多,对所做的一切都是陌生的;如果愤懑或不满的艺术家进入行列,他们的头脑表达不是模棱两可的,思想过滤了支配他们的激情;我说更多,想法在那里染色。
神采奕奕的普罗塔斯,半裸着,一头黑发,肤色被太阳晒得焦黄,脸颊上染上了愉悦的色彩,炯炯有神的眼睛,修好了劳动的损失,还看到了装满酒神酒的酒皮。一个人激起年轻运动员的力量,将他击倒,然后用胜利的脚踩在他的胸口。他目不转睛,抬起头,脸颊上泛起的绯红宣告着他内心的情感。其他人则在牧神的口哨声和重复的歌曲声中,聚集了一圈天真的舞蹈。在任何地方,我们都认识到我们从积极的生活中获得的 bonbeur。
当今的哲学家!全世界人民!让悲伤随之而来,当你追求快乐时,来这里学习吧。我终于到达了一座巨大的山顶,走近一座引起我好奇的小建筑。我看到很深的棚子,用来容纳汽车、犁;我看到了饮水槽、消防喷泉、所有农业生产的商店。我听到马匹嘶鸣,拱顶的回声回响着它们的喜悦。公牛站立时无助的爱抚让小母牛疲惫不堪。悬挂的羊毛衫随处可见乡村战利品。装满牛奶的粘土容器;在清新的空气中保存的水果向我展示了预防措施所能保证的一切。再往前看,我们看到公鸡的冠被激怒,我们看到它脸红。他用饱和的稻草、富有成效的再生盐将自己的后宫组装在自己周围,这些肮脏的动物不断地返回,这些动物在塞雷斯被宰杀,以补偿它们对乡村造成的破坏。一个勇敢的对手向前推进,打破了界限,他攻击了他,战斗开始了,战败者和胜利者都被包裹在泥泞的混合物中;让人以为他们是从黑色科塞特斯那里逃出来的。我们看到那只调情的母鸡冷漠地等待着将获得胜利奖品的英雄。从事物诞生之初,这些就是大自然不可逆转地制定的永恒法则。自从丢卡利翁把他肥沃的石头扔到人口稀少的大地上后,爱就变得狂暴起来。呃!为什么生下他的人立刻就让他死了!
酒窖、乳品厂、烤箱、布歇尔、植物和种子矿床占据了第一个区域;第二个对于客厅来说已经足够了。在上面你可以看到朋友和仆人的房间;当您对选择挑剔时,它们的数量很少。
来自有人居住的房间的烟雾最终进入水箱,水箱吸收它并保护所有可能着火的部分。
一个私人,如果收集了所有必要的东西,并且他认为是令人愉快的,那么他就会愉快地享受当之无愧的赞美;因为如果自爱与所有的激情混合在一起,如果它引导它们,那么它就是揭示假设的内在感觉的载体。
在通常的赞美之后,我要求忏悔,这些忏悔激发了这种建设。
“我不够幸运,”他说,“要把农舍的所有细节都隔离开来,把舒适住宅的细节统一起来,我把它们积聚在这座小小的大厦里,这栋小楼里打着我的官能的烙印:你所看到的一切都是出于必然,而理性已经成熟了那些表现出农村奢侈的东西。我不受任何石篱笆的束缚,通过沟渠和保护性树篱将自己与周围的地点连接起来;我既喜欢我耕种的产物,也喜欢眼睛可以穿越的所有土地。他用可能打击滥用职权的例子来支持他的原则。“你看见了吗,”他说,“这座宏伟的城堡,隐藏着巨额财产的尴尬所引起的忧虑?那些围住许多羊群的高墙,被杀牙枯萎的枝条,被现在的种族遗失的珍贵树木;你是否看到那些骄傲的松树使云层通电,那些使富饶的大地瘫痪的巨大树枝,那些光秃秃的宝座,那些撕裂的树皮预示着毁灭?你看到那些被遗弃的树梢雄伟地翱翔在空中吗?他们的毁灭近在眼前;这是不可避免的。
美德往往是犯罪的产物;因为如果一个人没有能力放火烧一座宫殿,就没有人会冲进火里来拯救它。在这里,犯罪行为触犯了自然,对艺术没有任何好处,对反复无常的人性也没有好处;你会相信吗?无知而野蛮的斧头将为这些巨人着色。进入,你会发现毁灭性的动物,它们抬起地球,挖掘它并吞噬生命的原理。
如果你对这些无限的财产被委托给贪婪的代理人感到惊讶,因为你自己不可能监督它们,那么你会更惊讶地看到它们受到排他性恐惧的限制,这种恐惧集中了虚假的享受,并且不允许我们与邻近的景观相连。帕罗斯遗迹的这些乳制品继承人登场了;你会看到丰富的东西压在无力的乳房上,贫乏的牛奶涌入潘泰利库斯山的大桶中:如果我们收集了损失,我们就可以喂养继母托付给不育慈善机构的危险的无名孩子;人行道提供了所有大理石和所有已知珐琅的样本;里面散落着来自日本的伊特鲁里亚花瓶和碟子;宏伟的青铜器支撑着燃烧香草和肉桂提取物的炉子。浓密的金合欢树熄灭了一天,慢慢地降临,蔓延到安静的地面。嘿!让阳光照在我们身上并传播它的好处。我在问你;一百年的产物能支付这笔费用吗?
拒批的后果是什么?它给那些没有精神的人;但是,当播种黄金以收集被人手拖入沼泽的鹅卵石时,它没有任何完善,也没有纠正任何人。你看到这些干涸的菜园了吗:多么荒芜的土地!漫步在这些宽阔的大道上,那里有六匹骏马,闪闪发光,拖着早晨的懒惰和晚上的痛苦消化。我们看到这些土地上散布着刺眼的沙子,当波里亚斯挥舞着他喧闹的翅膀时,这些沙子灼伤了景色;花园只提供线条的对称性和组合的不和谐。沿着通往普里阿普斯神庙的小路,您将穿过毁灭性的桥梁进行采访;你会看到自然的再生者,不雅地悬挂,以欺骗的比例欺骗轻信。在附近,你会看到一口挖了一百英尺深的井,为河流的模拟物提供水源;你会听到不受欢迎的呻吟声,让你想起拉托娜的复仇。
所有这些冒名顶替有什么用?所有这些艺术的暴行都吸收了产品,给未来的种族留下了改变的面孔。
人们在别人身上看到的好东西会引导他构想出一个更好的理想:对自己的好看法可以衡量手段;在他不洁的冲动中,他说:“我的收入大于我的支出;我托付给公共廉洁的财产是有限的;然而,我的快乐是无限的。这就是背叛人类原始状态的色调;商人披上了高利贷的外衣,战士靠索取为生,如果他对荣耀麻木不仁,那么艺术家在滋养他自尊心的产品的中心是谦虚的。
我对讨论所形成的思考感到满意,我离开了我的小管家,走上了通往毕业运河和负责维护这座大厦的木匠的住所的道路,在总结中,它知道如何使所有没有必要说的话保持沉默,我看到它更容易困难地积累起来。 而不是在享乐和委托的信任中保存祖先积累的财富。
我看到,批评打破了所有等级,甚至连那些它的存在都归功于它的人,那些艺术归功于它辉煌的人。
Quel est cet humble édifice qui présente au sommet, des piles espacées de deux diamétres, appelant dans leur isolement les souffles septentrionaux, et provoquant la salubrité. Les toits sont trés-saillants, et portent sur les murs des ombres protectrices. La partie éclairée par l’ astre brúlant des étés est si lumineuse, qu’ il semble que l’ on tireroit du feu des cailloux qui la composent.
La masse est carrée et en opposition avec les forts S. André et Poupet, ces monts qui percent la nue et se confondent avec elle. Le devant du tableau est chargé par des nuages suspendus qui inquiètent le voyageur; plus loin, les rayons du soleil frappent la colline d’ une lumière piquante, et l’ eil peut à peine saisir lhorizon à travers les vastes plaines qu’ il parcourt. Cest l’ habitation d’ un artisan de Dole, qui a placé les fruits réservés de quarante années de travail sur ce terrein exigu. Ainsi la terre va féconder l’ industrie; et si son avarice enfouit de nouveaux germes, en les développant, elle sera prodigue et moins riche de ce qu’ elle possède, qu’ appauvrie de ce qu’ elle auroit soustrait à sa puissance.
La situation, favorisée par la nature, ne devoit rien à l’ art. Les pentes étoient données et mollement alongées, des arbres à fleurs bordoient le chemin, les intervalles offroient des scènes parées de tous les produits utiles. J’ appercevois des légumiers abondants, chargés de l’ arrosoir du matin; des vergers qui protégeoient, par leurs ombres accidentelles, des champs cultives; l’ air étoit pur, il étoit parfumé de toutes les exhalaisons qui portent à l’ odorat un sentiment suave et délicieux.
Une petite rivière serpentoit au bas de la colline, elle étoit rapide; des roches, jettées au hazard, résistoient à son cours; irritée par les obstacles, elle écumoit de rage, et ne pouvoit contenir ses murmures.
Des gazons, des plantes aqueuses, des cailloux répandus sur les bords, corrigeoient l’ uniformité des lignes, un chemin ferré se prétoit à toutes leurs souplesses. Là, un saule pleureur, dans son abandon, agite les eaux, avec sa chevelure légère, le sorbier ploye sous le poids de sa grappe colorée; là, des peupliers, des chénes verds, des platanes, des sicomores, élèvent leur tête au-dessus des arbustes et des scènes du premier plan. Plus loin, les yeux se reposent sur des champs dorés et se perdent dans les teintes accumulées de l’ atmosphère.
Les attractions du cour offirent à la sensibilité les lieux enchantés où l’ amour forge ses soupirs, ses griefs, ses pardons. Les hommes nuls, au milieu de ces scènes délicieuses, craignent de laisser appercevoir leur existence; les indifférents sont en grand nombre, et demeurent étrangers à tout ce qui se fait; si les artistes aigris ou mécontents entrent dans les rangs, l’ expression de leurs têtes n’ est point équivoque, les idées filtrent à travers les passions qui les dominent; je dis plus, les idées s’y teignent.
Des Protées de la gaieté, à demi-nues, les cheveux noirs, le teint bruni par le soleil, les joues colorées par le plaisir, les yeux ardents, les jambes prononcées, réparoient les pertes du travail, et vuidoient des outres pleines d’ une liqueur bachique. L’ une provoque les forces d’ un jeune athlète, le renverse, et appuie sur sa poitrine un pied triomphant. L’ eil fixe, il leve la téte, et le carmin répandu sur ses joues, annonce l’émotion de son ceur. D’ autres, au sondu siflet des Faunes, et des chants répétés, assemblent un cercle de danses naives. Par-tout on reconnoit le bonbeur que l’ on obtient de la vie active.
Philosophes du jour! gens du monde! que les chagrins suivent en croupe, quand vous courez les plaisirs, venez ici prendre des leçons. J’ arrive enfin au sommet d’ une vaste colline, j’ approche d’ un petit édifice qui avoit piqué ma curiosité. Je vois des hangards profonds destinés à contenir des voitures, des charrues; je vois des abreuvoirs, des fontaines préservatrices des incendies, des magazins pour toutes les productions agricoles. J’ entends des chevaux qui hennissent, leséchos des voutes qui répercutent leur gaieté. Des beufs dressés sur leurs pieds fatiguent les génisses de caresses impuissantes. Des toisons suspendues offrent de toute part des trophées champétres. Des vases d’ argile remplis de lait; des fruits, conservés par les airs vivifiants, présentent à ma vue tout ce que la précaution peut assurer. Plus loin, on voit la créte d’ un coq s’ irriter, on la voit rougir. Il assemble autour de lui son sérail sur des pailles saturées, sels productifs et régénérateurs, sans cesse retournés par ces animaux immondes que l’ on sacrifie à Cérés, en expiation des dégats qu’ ils causent dans les campagnes. Un rival audacieux s’ avance, rompt la mesure, il fond sur lui, le combat s’ engage, les vaincus, le vainqueur sont enveloppés de mélanges fangeux; on les croiroit échappés du noir Cocyte. On voit la poule coquette attendre avec indifférence le héros qui remportera le prix de la victoire. Telles furent, dès le commencement des choses, les loix éternelles que la nature a irrévocablement fixées. Depuis que Deucalion a jetté sur la terre dépeuplée ses cailloux féconds, l’ Amour développe ses fureurs.Eh! pourquoi celui qui l’a fait naitre l’a-t-il fait sitót mourir!
Des caves, des laiteries, le four, le búcher, des dépots de plantes, de graines occupent la première superficie; la seconde suffit aux pièces d’ habitation. On voit au-dessus des chambres d’ amis et de domestiques; quand on est difficile sur le choix, elles sont en petit nombre.
La fumée des pièces habitées aboutit à des réservoirs d’ eau qui l’ absorbent et garantissent de l’ incendie toutes les parties susceptibles de s’ enflammer.
Un particulier qui a rassemblé tout ce qui est nécessaire et qu’ il croit agréable, goúte avee plaisir un éloge mérité; car si l’ amour-propre se méle à toutes les passions, s’ il les dirige, il est le véhicule du sentiment intérieur qui décèle la présomption.
Aprés le compliment d’ usage, je sollicite les aveux qui avoient motivé cette construction.
N’étant pas assez fortuné, me dit-il, pour isoler tous les détails d’ une ferme et réunir ceux d’ une habitation commode, je les ai accumulés dans ce petit édifice qui porte l’ empreinte demes facultés : tout ce que vous avez vu est motivé par la nécessité, et la raison a muri cesriants cóteaux qui déploient un luxe champétre. N’étant limité par aucune clóture de pierre, je me suis lié aux sites environnants à la faveur d’ un fossé et d’ une haie préservatrice; je jouis à la fois des produits de ma culture et de tous les terrains que la vue peut parcourir. Il appuyases principes d’ exemples qui pouvoient frapper sur les abus. Voyez-vous, me dit-il, ce magnifique cháteau qui recèle les soucis enfantés par l’ embarras des grandes possessions? Ces hautes murailles qui circonscrivent de nombreux troupeaux, des rejettons flétris par des dents meurtrières, des arbres précieux perdus pour la race présente; voyez-vous ces pins orgueilleux qui électrisent la nue, ces vastes branches qui paralysent les efforts d’ une terre généreuse, ces trones dépouillés, et dont l’écorce déchirée annonce la destruction? Voyez-vous ces arbres dont la cime abandonnée s’élance majestueusement dans les airs? leur ruine est prochaine; elle est inévitable.
A quoi bon toutes ces impostures? tous ces outrages de l’ art absorbent les produits et ne laissent à la race future que des terres changées de face.
Ce que lhomme voit de bien chez les autres lui fait concevoir un mieux idéal: la bonne opinion de soi donne la mesure des moyens; dans son élan improbateur il dit: Mes revenus sont au-dessus de ma dépense; mes possessions confiées à la probité publique sont bornées; cependant mes jouissances sont infinies. Telles sont les teintes qui décélent l’état primitif de l’ homme; le marchand prend la couleur usuraire, le guerrier vit d’ exactions, s’ il est insensible à la gloire, l’ artiste est modeste au centre des produits qui nourrissent sa fierté.
Satisfait des réflexions que la discussion avoit développées, je quitte mon petit économe pour reprendre la route qui menoit au canal de la graduation et au logement du charpentier chargé d’ entretenir cet édifice, et dans le résumé qui sait taire tout ce qu’ il n’ est pas nécessaire de dire, je vis quil étoit plus aisé d’ amasser avee peine, que de conserver, au milieu des plaisirs et des confiances déléguées, les biens accumulés de ses ayeux.
Je vis que la critique, rompant tous les rangs, ne ménage pas méme ceux à qui elle doit son existence, ceux à qui l’ art doit une partie de sa splendeur.
[…] 谷仓 Grange Parée […]